Sérgio Vieira

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Ne doit pas être confondu avec le diplomate brésilien Sérgio Vieira de Mello.

Sérgio Vieira
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Fonctions
Directeur
Centro de Estudos Africanos (d)
à partir de
Gouverneur de Niassa
-
Aurélio Benete Manave (d)
Mariano de Araújo Matsinhe (en)
Ministre de la sécurité de l'État du Mozambique
-XXe siècle
Gouverneur de la banque du Mozambique
-
Secrétaire d'État
Samora Machel
-
Secrétaire d'État
Eduardo Mondlane
-
Membre de l'Assemblée de la République
5e législature de l'Assemblée de la République (d)
Tete Constituency (d)
Biographie
Naissance
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TeteVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 80 ans)
Afrique du SudVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
mozambicaineVoir et modifier les données sur Wikidata
Formation
Université de Lisbonne (-)
Université d'Alger (magistère) (jusqu'en )Voir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Autres informations
Parti politique
Membre de
Maison des étudiants de l’Empire (en)Voir et modifier les données sur Wikidata

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Sérgio Vieira, né le à Tete (Mozambique portugais) et mort le [1] en Afrique du Sud, est un poète et homme politique mozambicain, l'un des chefs historiques du Front de libération du Mozambique (FRELIMO).

Politique

Diplômé de sciences politiques, il se lance très jeune dans le militantisme. Pendant ses études à Lisbonne, il est très proche des activités de la Casa dos Estudantes do Império (pt) (CEI)[2].

Il s'installe à Dar-es-Salam (Tanzanie), où il dirige le département Éducation et culture du Front de libération du Mozambique (FRELIMO)[2].

Après l'indépendance, proclamée en 1975, il exerce notamment les fonctions de gouverneur de la Banque du Mozambique, de ministre de la Sécurité, de ministre de l'Agriculture. Il fut également député à l'Assemblée nationale[3].

Littérature

Il collabore à plusieurs périodiques, tels que Jornal de Angola ou Mensagem (le journal du CEI). Il publie un recueil de poésie, Também Memória do Povo (1983)[2] et une autobiographie, Participei, por isso testemunho (2010)[3].

Ses poèmes figurent dans plusieurs anthologies : Poetas Moçambicanos (1962), Breve Antologia da Poesia de Moçambique (1967), Poesia de Combate (1977), No Ritmo dos Tantãs (1991)[2].

Notes et références

  1. (pt) Nádia Issufo, « Moçambique: Morreu líder histórico Sérgio Vieira », sur DW.com (Deutsche Welle), (consulté le ).
  2. a b c et d (pt) « Sérgio Vieira  », sur Antonio Miranda (Brésil).
  3. a et b (pt) « Sérgio Vieira critica desvalorização da história do país na sua homenagem », O País, 20 décembre 2019, [lire en ligne].

Annexes

Bibliographie

  • (pt) Interview de Sérgio Vieira, STV, , 28 min 46 s
  • (pt) « Sérgio Vieira critica desvalorização da história do país na sua homenagem », O País, , [lire en ligne]

Liens externes

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